Une jeunesse dans notre vision future

5 avril 2018
par Océane Dandurand et Zak Langlois, photo: Jocelyn Riendeau

Océane Dandurand
Jeune journaliste – Simulation de l’AG des Nations Unies 2018
École secondaire de l’Odyssée, 4e secondaire

Zak Langlois
Jeune journaliste – Simulation de l’AG des Nations Unies 2018
École secondaire de la Ruche, 5e secondaire

Dans l’optique de redonner à la jeunesse d’aujourd’hui qui sera la génération qui reprendra le flambeau, la ministre Christine St-Pierre a assisté à l’ouverture de la Simulation de l’Assemblée générale des Nations unies (SAGNU).

Elle compte à son actif plus de 30 ans à titre de journaliste, mais elle remarquait que les gestes qu’elle faisait n’apportaient pas assez au Québec.

C’est donc pourquoi elle s’est  lancée vers la politique. Depuis maintenant 11 ans, la ministre St-Pierre occupe le poste de ministre des Relations internationales et de la Francophonie. Nous avons eu la chance de lui poser quelques questions lors de la 20e édition de la SAGNU.  

La journée d’une ministre commence très tôt. Elle doit se tenir au courant des nouvelles pour savoir comment aborder la journée. Quand elle part à l’étranger, par exemple en Inde la semaine précédant la simulation, il y a toujours une raison. La semaine dernière, c’était pour le Sommet sur le développement durable. Elle a été invitée pour parler du rôle des États fédérés dans la lutte contre le changement climatique. Elle fait valoir les capacités de partenariat et comment on peut faire pour approfondir nos échanges commerciaux et d’essayer de stimuler des échanges.

Après avoir porté le chapeau de journaliste, elle s’est lancée dans la politique. Madame St-Pierre a dit sur son changement de profession : « j’avais comme journaliste cette curiosité de savoir ce qui se passait de l’autre côté des portes ». Malgré son passé de journaliste, elle ne prédit pas nécessairement les questions qu’on lui pose.  

Pour la ministre St-Pierre, la jeunesse est un point à ne pas prendre à la légère. Dans les jeunes présentes et présents à la SAGNU,  nous pourrions retrouver des médecins, des politiciennes et même des futures journalistes. La ministre souhaite aux jeunes de développer leur ouverture d’esprit et les encourage à prendre position sur les enjeux qui leur tiennent à cœur.