Vincent Boutin et le Conseil municipal jeunesse

26 avril 2017
par Vincent Boutin, photo: Jocelyn Riendeau

Hier soir c’est moi qui faisais la loi au conseil municipal jeunesse ?. Regardez bien la photo, vous ne trouvez pas que j’ai l’air méchant? Bon si vous me connaissez vous savez que j’ai été gentil ?. D’ailleurs, ma collègue Christine Ouellet, qui était présente pour l’occasion, m’aurait lancé des regards désapprobateurs, ce que je veux éviter!

De toute manière, j’avais toutes les raisons d’être gentil tant les jeunes ont agi de façon exemplaire! Il faut dire qu’ils étaient bien préparés et ça paraissait, ils maîtrisaient très bien leurs dossiers. En effet, nous avons eu de bons échanges sur la réglementation sur les poules en ville et la communication entre les jeunes et la Ville de Sherbrooke. D’ailleurs ils reviendront lundi déposer leurs recommandations au conseil. J’estime que nous avons tout à gagner à connaître la vision des jeunes concernant ces enjeux d’actualités. Ils peuvent assurément nous guider dans nos décisions.

« J’estime que nous avons tout à gagner à connaître la vision des jeunes concernant ces enjeux d’actualités. Ils peuvent assurément nous guider dans nos décisions. »

 

 

D’ailleurs, quand on m’a approché pour participer au conseil municipal jeunesse, je me suis empressé d’accepter, car je trouve que c’est une source de motivation énorme de voir des jeunes engagés débattre et contribuer à briser le préjugé selon lequel les jeunes en auraient que pour eux-mêmes. Quand ils ont fait une tournée médiatique, à la veille du conseil, ce qui est ressorti le plus, je pense, c’est qu’ils sont conscients qu’ils pourront voter bientôt, et ils veulent agir de manière responsable en allant chercher l’information disponible pour mieux connaître les enjeux. C’est tout à leur honneur!

Ce conseil jeunesse fut un grand succès, et ce succès appartient d’abord aux jeunes qui se sont prêtés au jeu de manière brillante et inspirante. Merci à vous. Je tiens aussi à remercier les partenaires qui ont rendu ce conseil possible, c’est à dire la Ville de Sherbrooke, le Carrefour de solidarité internationale, l’École de politique appliquée de l’Université de Sherbrooke et les écoles secondaires qui ont permis aux jeunes de dégager du temps pour se préparer ainsi que tous ceux qui étaient présents dans la salle pour assister à la séance.

Texte tiré de la page personnelle de Vincent Boutin