SAGNU: La commission sur la mortalité infantile

17 mars 2017
par Léa Lamontagne et Laurence Lajeunesse, photo: Jocelyn Riendeau

Léa Lamontagne et Laurence Lajeunesse
Jeunes journalistes – Simulation de l’AG des Nations Unies 2017
École secondaire de LaRuche, 5e secondaire
 

La mortalité infantile est un sujet controversé et un enjeu difficile à résoudre. Que diriez-vous d’un fonds commun géré par l’ONU? C’est ce qu’ont voté les délégué.e.s des pays représentés à la Simulation de l’Assemblée générale des Nations unies (SAGNU).

Le 22 février 2017 au Collège Sacré-Cœur, plus de 100 jeunes de 8 écoles secondaires estriennes ont participé à la SAGNU, dans le but de sensibiliser les jeunes à la diplomatie et à la politique internationale.

De nombreuses solutions, à la fois intéressantes et surprenantes, sont ressorties pendant la commission concernant la mortalité infantile. Entre autres, des soins de santé gratuits pour les enfants de 0 à 5 ans et les femmes enceintes, une idée proposée par les délégué.e.s du Burkina Faso. La Finlande a ressorti une solution originale, soit d’offrir une boîte pour les nouveau-nés comprenant des médicaments, des couches, une couverture, etc.

La première solution adoptée est d’encourager l’éducation sexuelle féminine et masculine pour mieux protéger leur santé. Les délégué.e.s recommandent aussi que des programmes de formation pour du personnel médical soient mis en place par la communauté internationale. De plus, la solution proposée par le Burkina Faso a été retenue, soit celle de donner aux enfants de 0 à 5 ans et aux femmes enceintes des soins gratuits.

Saviez-vous qu’à Haïti, 52 bébés sur 1000 naissances meurent? Et qu’au Niger 10,5% des enfants meurent avant l’âge de 5 ans? D’après vous, quelles mesures peuvent être prises par les États membres de l’ONU afin de lutter concrètement et efficacement contre la mortalité infantile et maternelle? Seriez-vous en accord avec les décisions prises par les jeunes délégué.e.s de la SAGNU?